samedi 24 août 2013

Mission accomplie

Un petit article en chiffre. Notre périple compte 3500km au compteur et déjà dix états. New-York, New-Jersey, New Hampshire, Connecticut, Rhodes Island, Massachussetts, Maine, Pennsylvanie, Ohio, Michigan, sans compter le Canada, et ce n’est pas fini. Sachant que nous avions déjà fait onze états dans nos anciens trips, sans dire que nous spécialistes des States, on peut dire que l’on en connait pas mal. Et maintenant nous avons vu, voir mis les pieds dans les 5 plus grands lacs américain.

Sau Sainte Marie, prenez la peine de regarder sur Google map. Nous sommes quasi à la croisé des trois lacs. Sau se trouve sur le lac supérieur et nous avons traversé pour y venir, le point de jointure entre le Michigan et le Huron. Vous dire que ces lacs sont immenses, gigantesques et grands comme des mers ne vous avancerait à rien. Alors je vais vous donner des points de comparaisons.


Si le lac Ontario et le lac Erié font office de petit lac, avec 18 et 25 milles Km2, ils sont un peu moins de la moitié de la suisse avec ses 41 milles km2. Le Huron et le Michigan avec leurs 49 et 57 milles Km2 rivalisent en taille avec notre pays. Mais dès que l’on parle du lac Supérieur et ses 82 milles km2 on double la surface de notre belle suisse et l’on a face à nous 10% de l’eau douce de la planète. Les cinq lacs contiennent à eux seuls, 18% de l’eau douce de la terre. Une nouvelle fois dans ce contient on fait face à tout les superlatifs. Les cinq lacs réunis c’est un tiers de la France, ou la totalité du royaume uni. Un dernier point de comparaison, notre Léman fait 581km2 ou l’on parle de 18 milles pour le plus petit et 82 pour le plus grand. Il est totalement impossible de vous décrire ce que l’on a devant les yeux. Mais là, à la croisé de ces grands lacs, on prend la mesure de cette nature de la démesure. Mackinaw city qui se trouve 50 miles au dessous de notre point actuel, soit 80 km est le point de jonction du Michigan et du Huron. Pour atteindre ce point, nous sommes parti ce matin de la banlieue de Cleveland, passé Toledo, évité Détroit qui au passage est la 1ère ville la plus dangereuse des USA et la 9eme au monde, et notre chemin entre les deux lacs nous à pris plus de six heures. Six heures durant lesquelles notre route suivait les lacs. La descente sur Chicago demain par la cote ouest du Michigan va être un périple de près de 800 km2 à longer ce lac gigantesque. Les chiffres du périple sont loin d’être terminé. Encore 4 ou 5 états nous attendent, mais pour le moment on vise la ville de la pègre des années trente ou les fantômes de Capone et d’Eliott Ness  planent encore… to follow !

vendredi 23 août 2013

Franbécois ou Québéçais?

Bien, il m’a été reproché d’être en retard d’article, et c’est vrai j’en conviens. Sans vouloir me disculper, il faut prendre en compte que dans les autres road trip nous nous déplacions dans des endroits aussi improbable que désert. Cette fois les lieux que nous traversons, sont des villes, vivantes, actives, ce qui laisse moins de temps pour l’écriture.

Passé ce petit aparté, revenons aux choses sérieuses. Je vais commencer par les choses qui fâchent…enfin que les canadiens ! C’est vraiment une bande cul qui roule n’importe comment. Doublant sur lignes blanches simples ou doubles. Ce foutant complet des règles de base et comble du chic des autoroutes de merde limitées à 100kmh et en travaux sur des milliers de kilomètres et donc limitées à 80 pour cause de chantier ou y’a pas un foutu bouffeur de sirop d’érable. Pas agréable de rouler chez eux...voilà c’est fait, c’est dit !
Pour le reste, ils sont gentils et avenant, mais des fois pour les comprendre, il faudrait les sous titres !

Québec est vraiment une jolie ville qui vaut le détour. Pleine de charme et d’histoire, il faut flâner des ces rues et parler à l’habitant… même si ce n’est pas sûr que vous compreniez tout (il faut imaginer l’accent en plus)

On est passé au bar à lait pour une crème molle, un délice. Sortant de Québec on a fait du gaz, pas par plaisir, mais par besoin ! Puis après tout cela, il fallait passer chez le dépanneur, heureusement, il y en a partout. Mais rien à voir avec le débosseleur, et c’est heureux que lui on en a pas eu besoin. Tous les matins j’ai cherché une brûlerie pour ma drogue quotidienne, plus facile à trouver qu’aux USA. Mais aussi ma chère épouse qui c’est vu apostropher par un vendeur bien familier qui lui lança « Y’en a pas gros » …Ha bon ! Mais un autre vendeur m’a dit lui « Vous avez été répondu ? »… Ben en même temps j’ai rien demandé… donc ! Et si on te dit de tourner à la prochaine lumière…cherche la lumière !
Vous pensez que ce n’est pas possible tout ça… Okay j’vous l’translate !

La volonté de n’utiliser que leur français, apporte parfois des âneries, pas méchantes, mais un peu ridicule tout de même. Ils ne traquent pas que les anglicismes, puisque la Gelateria est devenue le bar à lait est que ce régal de glace à l’italienne devient cette peu envieuse crème molle. Comme le fait de tourner à la prochaine lumière n’est pas de trouver un réverbère et hop, mais bien d’aller jusqu’aux feux tricolore suivant. 
Convenience Food, appelé chez nous aussi épicier en 24 sur 24, se transforme ici en dépanneur et s’il n’a rien à voir avec le dépannage de voiture, le débosseleur est bien un carrossier lui ! 

Une brûlerie n’est autre qu’un torréfacteur de café artisanal qui me donnera mon expresso du matin.  Je vous rassure, malgré la nourriture assez riche en Amérique du nord ce n’est pas nous qui avons fait du gaz… ou en tout cas pas plus que d’habitude. Et je ne me permettrais pas de disserter ici sur nos flatulences, ou les vôtres d’ailleurs. Donc faire du gaz, c’est simplement faire le plein de la voiture. Mon vendeur est son « Vous avez été répondu » voulait juste savoir si j’étais servi…hé oui ! Mais Mumu essayant une veste légèrement trop petite c’est vu dire « Y’en a pas gros »… heu ben si justement, sinon elle ne serait pas trop petite ?! Pas du tout, en fait pour eux cela veut dire « il ne manque pas grand-chose ».
Fleuri et drôle je vous conseille le Québec pour ce fun aussi et voir comment une langue évolue quant elle est loin de « la maison mère »… et le sirop d’érable ? C’est pas mauvais, mais faut pas en abuser non plus…à bientôt.


mardi 20 août 2013

L'estuaire

Je vous avais donné un avant gout des expressions québécoise, mais promis je vais refaire un article sur le florilège de ce que l’on a pu entendre par ici.

Pour le moment, voyons la journée d’hier. Dimanche nous avons débarqué du fond de la Gaspésie et nous avons fait halte dans une petite ville touristique Rivière au Loup. Situé sur l’estuaire du St Laurent on a l’impression d’être face à la mer tellement le fleuve est large par ici. 
En fait nous sommes dans une zone stratégique du fleuve. Sur l’autre rive presque en face la ville de Tadoussac, totalement inconnue pour la plus part d’entre nous elle délimite pourtant un endroit très spécial de ce fleuve. 
Le St Laurent est un fleuve, donc en eau douce, mais la grandeur de son estuaire et la force de l’atlantique, pour ceux qui connaissent les marées bretonne, font que l’océan remonte et gorge d’eau salé le fleuve sur une zone immense. 

L’eau douce du fleuve est donc mélangée à l’eau salée de l’océan. Mais a Tadoussac le fond marin prend fin et les profondeurs encore abyssale de l’océan s’écrasent contre une falaise immergée. Les trois cents mètres de fond de cet estuaire, remonte soudainement à trente mètre. Ces masses d’eau salée et douce se rencontrent et se mélangent dans un courant et des tourbillons étonnants. Il est facile de voir les lignes d’eau issues de divers courant presque aussi visible que la ligne blanche tracée au milieu de la route. Si tout ceci est visible en surface, on peut imaginer les forces et les pressions colossales qui s’exercent sous l’eau. 

Ce brassage d’eau océanique qui arrive et ce fracasse contre cette falaise, une sorte de tsunami immergé et permanent ! Mais comme souvent, les subtilités de la nature ont des effets. Ici, l’effet qui nous est réservé est l’un des plus beaux spectacles que l’on puisse contempler. Cette vague abyssale draine avec elle une quantité énorme de nourriture minuscule telle que plancton, krill et autres.

Krill est, dans je ne sais plus quelle langue nordique, une forme de traduction littérale de nourriture à baleine. Et vous voyez donc un peu mieux ou je veux en venir ! Cet estuaire regorge de toute sorte de baleine, un vrai sanctuaire. De la baleine franche ou rorqual commun, du Béluga soit la baleine blanche. De son terrifiant cousin qui a le même nom en anglais et en français « whale killer » soit la baleine tueuse ou Orque, mais aussi de la baleine à bosse ainsi que la plus grande, la baleine bleue.

Ces immenses cétacés ne sont pas les seuls habitants du coin. Ce milieu si riche est aussi l’habitat de quatre sortes de phoque, de marsouin et de dauphin. Il nous était donc impossible de ne pas se faire une ballade en « mer » pour aller admirer ces animaux. Lundi matin 9 heures au port!

Voir le dos blanc immaculé d’un béluga, fendre ces eaux foncées qui vont du brun café au lait au bleu foncé en passant par le vert, est un spectacle qui à lui seul vaut déjà le détour. Le museau noir des phoques, qui par banc entier, viennent soudain guigner en surface pour voir qui dérange leur pêche sous marine. Des marsouins qui de temps à autres viennent montrer leur nageoire dorsale et soudain… une nageoire plus noire et seule et un dos plus long. Ce n’est pas un marsouin, c’est une baleine franche, la plus petite, mais huit à dix mètres quand même !

Et puis vient le moment de la rencontre, le moment ou le bateau mais les moteurs quasi à l’arrêt et malgré deux cent cinquante personnes à bord, on entendrait péter une moule ! Jusqu’au moment où
-          
     - Elle souffle !

Et là c’est la ruée. Le bateau de près de trente mètres penche car tous sont agglutiné du même côté pour voir l’animal. Comme l’a dit le capitaine, « ce navire est construit comme le Titanic, il est insubmersible, vous ne risquez rien ! »  Un car complet de Chinois était à bord, jouant des coudes pour approcher la balustrade, et je les soupçonne d’avoir vu le bestiau plus comme un méchoui géant que comme un animal à protéger. Car faut il encore le rappeler, Chine, Japon et un pays nordique membre de la CEE, continuent la pêche des baleines. Mais ne nous méprenons pas, je ne fait pas ici du Brigitte Bardoisme basique, ou du Nicolas Ushaïaisme neuneu pas plus que du Yann Arthus qui en grand défenseur de l’environnement, sont aussi par leurs multiples déplacement des sources à faire sauter tout les indices carbones connu, surtout les deux derniers et monsieur photo vue du ciel… en hélico, le moyen de déplacement le plus polluant qui existe. Bon mais je m’emporte et je m’éloigne de nos charmantes amies les baleines.

C’était une baleine à bosse. Elle ne nous a pas fait le show, elle se reposait tranquillement, soufflant de temps à autre, nous donnant sa bosse et un peu de sa queue pour nos cartes mémoires avides.
Pour autant, et vu sa discrétion, pas sur que les photos soient inoubliables, mais le moment passé auprès de ce géant des mers, lui reste gravé à jamais dans nos cœurs.  


samedi 17 août 2013

Comment?

Bonjour utilisé comme « service ou à votre service ». Bon matin pour bonjour. Un char pour une voiture ou patin à roues alignées pour Roller Skate. Bienvenue sera utilisé pour « il n’y pas de quoi » et faire attention à ne pas se faire sprayer par une moufette veut bien dire de faire attention au putois en nombre par ici et qu’il ne te gicle pas dessus !

En bref, des exemples de ce type il y en a à foison ici. Un langage fleuri et plein d’expression ou il faut à la fois ce concentrer pour les comprendre, mais aussi garder un chouïa de sérieux pour ne pas éclater de rire, ce qui pourrait être mal pris par votre interlocuteur… encore que !


Hé oui, encore que… La gentillesse légendaire des québécois n’est pas une légende et de loin. Ce premier contact au fond de la Gaspésie est un régal   

vendredi 16 août 2013

Mais où es-que ça nous Maine!

Nous avons traversé tout le Maine et sommes maintenant dans la ville de Caribou, la plus au nord est des USA. Les paysages jusqu’ici, s’ils sont un peu monotones, ils n’en restent pas moins superbes. Des vastes forêts de conifères parsemé de quelques feuillus, a perte de vue. Nettement plus habité que les zones du sud ou de l’ouest que nous avons traversé. Les petites bourgades se succèdent le long de cette côte. Des maisons typhiques avec leurs gazons verdoyants coupés au millimètre près ! Les noms de villes telles que Newcastle, Scarborough et autres dérivés du royaume uni, ne laissent aucun doute sur les premiers colons arrivés sur ces terres. L’architecture de certaines demeures et le fameux gazon d’un vert tendre délicieux et taillé au cordon n’est d’ailleurs pas étranger à cela, selon moi.

 Après notre halte à Caribou, spécifiquement pour Da et son « défi », nous sommes revenus sur nos pas d’une dizaine de miles, pour prendre une chambre dans un endroit plus « vivant », soit la petite ville de Presqu Ile. Comme dans les autres  villes étapes et pour la première fois de nos Road Trip américain, on galère un peu pour trouver des chambres. On ne compte plus le nombre de fois ou l’on s’est vu répondre « complet ». Et ici dans ce bled paumé, petit et pas très vivant, premier hôtel que l’on voit, et hop FULL ! L’effet plein mois d’aout doit jouer un peu, mais bon quand même...Presqu Ile, allez voir sur une carte, sur Google Street. Couvet un dimanche matin à 8h c’est plus vivant !

Allez je vous laisse, on va quitter les USA pour le Canada et s’enfoncer en Gaspésie, alors à bientôt pour des news de Caribou Land !


jeudi 15 août 2013

East Coast!

Nous avons quitté New-York pour le nord direction Boston et ce n’est pas sans mal que nous avons enfin trouvé un hôtel dans cette ville d’étudiants surdoués ou sur vitaminés à la matière grise. Harvard et Cambridge et le MIT… de quoi faire passer le bac +5 moyen pour un simple collégien.
Boston est une ville petite, pleine de charme, vivante et  très agréable sous le soleil d’aout.

En quittant Boston, impossible de ne pas passer par Salem et ces sorcières... ou comment expliquer à quel point l'hystérie collective peut être dangereuse, criminelle et froide!

Actuellement nous sommes à Rockland dans le Maine et je vous laisse le soin de regarder sur une carte dans quel point paumé nous avons fait étape. Sur le chemin de Boston nous avions une courte pause à Providence état de Rhodes Island et qui vaut le détour car cette petite ville est belle et romantique. Donc si vous suivez bien, nous avons fait l’état de New-York, le New-Jersey, Le Connecticut, Rhodes Island, le Massachussetts, le New Hampshire et le Maine. Demain départ pour les zones désertiques de Gaspésie et donc le Canada.

La grande différence dans ce road trip, c’est la vie ! Autant le sud et l’ouest étaient désert, autant la cote Est vit et grouille de monde, mais comme je l’ai dit à chaque fois… nous avons rencontré des gens charmants et affables, loin de tout les clichés ricains habituel… allons tester les bûcherons mangeurs de sirop d’érable.


mardi 13 août 2013

Walk!

Comme L’Empire State, la statue de la liberté est un emblème incontournable de New-York. Donc hier, après avoir quitté notre hôtel et fait une petite ballade jusqu’à et dans Central Park, nous avons décidé de prendre le bateau pour la statue… Un dimanche, en période de vacances et avec un temps légèrement couvert, mais chaud et humide (30C° on a 65% d’humidité), nous voilà arrivé au terminal des bateaux… Tudieu le monde ! Ça grouille de touristes tels des cafards cherchant leurs pitances.


Je vous précise tout de suite que nous ne sommes pas des touristes… Nous sommes des découvreurs d’expériences et de sensations ! Rien à voir avec cette masse infâme à laquelle nous fûmes contraints de nous mélanger pour ne pas attirer l’attention !

Après Miss Liberty, on s’est fait Battery Park, Ground Zero, China Town, Little Italy, Soho, Greenwich, Union Square, Time Square, Rockfeller Plaza et la 5eme Avenue et Central Park. Soit selon un rapide calcul nous avons fait genre 25km dans la journée et à pieds… Voilà en tout cas une méthode simple, mais fatigante, pour éliminer les généreuses calories US.

Mardi l’aventure démarre dès le matin, car nous allons chercher la voiture et départ pour les découvertes. Je suis impatient de le faire, car même si la grosse pomme est une ville sympa, elle n’est pas faite pour moi. Trop de monde, trop de furie, trop impersonnelle. Je pense que Manhattan est une broyeuse géante. Ici tout est fait pour que cela aille vite, rapporte un max. La pause de midi est une course étonnante avec des centaines de lieux pour ne pas y manger ! Non des lieux pour prendre sa bouffe et repartir. Les routes, les godasses tout s’use plus vite ici, mais aussi les nerfs et les âmes. Travailler pour vivre, ne pas vivre pour travailler.




dimanche 11 août 2013

Dééééécaaaaalqué....!

La nuit de noce et celle qui suivit, furent courtes, je parle en terme de sommeil entendons nous bien...pfffff!!! Avec ces quelques heures dans notre capital et un levé à 5 heures samedi matin pour notre avion, il est clair que nous allions prendre grave si on tient en plus compte du jetlag !

Alors je vous rassure tout de suite… on a pris méchant ! Je ne vais pas vous dévoiler les heures de petits vieux à auxquelles nous avons pris notre souper puis rentré à l’hôtel, mais c’était indécent !
Bon là il est 7h du matin et on est frais comme des gardons, donc on va aller se faire un petit déj ricain, puis début des aventures.


Mais avant cela, il faut que je vous dise que notre premier « plan » indiqué sur notre liste de souhait, est réalisé… Le champagne au dessus de l’atlantique à plus de 10 milles mètres, avec les féliccccccidad… (ben oui on a volé avec Ibéria…olé) du steward. Moi trop habitué à la coupe de champagne, pas de problème, mais Mumu ça l’a bien aidé pour dormir une partie du vol !

dimanche 4 août 2013

Histoire de sable, de marée et d'histoire...

Vous avez déjà dessiné sur le sable, ou même déclaré votre flamme dans ces lettres éphémères et condamnés par la marée. Au fur et à mesure de la montée de l'eau, votre oeuvre s'égraine, s'efface et votre oeuvre ou vos mots s'en retournent dans les secrets de la mer. Après son passage c'est la plage lisse que vous retrouverez, telle la page blanche de l'écrivain. Vous pourrez alors réécrire l'histoire, la modifier, l'embellir et la rendre plus belle.

Depuis trois jours maintenant, c'est mon patronyme que les vagues grignotent. Même si étymologiquement patronyme de son origine grecque est le "nom du père", et que ce n'est pas le sien que je porte, il n'en demeure pas moins, qu'il s'estompe. N'ayez crainte, je ne suis ni blessé, ni nostalgique, je suis l'écrivain devant sa page blanche, celle qui permet tout, celle qui fait renaitre l'histoire... ma page est rousse en l'occurrence, et la vôtre? Si vous ne l'avez pas encore trouvé, alors je vous souhaite de tout coeur d'y arriver. Pour les autres, chaque jour est un nouveau jour, chaque jour l'on peut réécrire un nouveau message. Ce n'est pas renier le passé, c'est progresser dans sa vie!

samedi 3 août 2013

Réveil en douceur!

Après les pluies diluviennes de ce printemps et de ce début d'été, la saison des vacances ayant repris ces droits, le Panikinfo Blog sort de sa léthargie.

Un réveil en douceur comme le titre de ce post! Les jours passent et la date fatidique approche à toute vitesse. Les derniers préparatifs sont en cours...

Pourtant il n'y a ni stress, ni poussée d'adrénaline. Calme et pondération sont les maitres mots de ces derniers jours avant l'évènement de l'année. Bon quant je dis évènement de l'année, je parle d'une dimension familiale, amicale, rien à voir avec la naissance de boy George, tout au moins pour ce qui en est de la couverture médiatique.

Donc rendez-vous est pris! Revenez sur le blog dans les jours à venir, quelques surprises et quelques nouveautés, promis!