jeudi 22 février 2024

Ecologie mode US ou pourquoi les européens sont des moutons!

 Ici on ne va parler que des US, on oublie l'Asie et plein d'autres endroits du monde ou c'est pire qu'ici. Mais déjà y'a matière...

Dans les distributeurs de boisson les grandes marques de soda sont fières de vous annoncer que la bouteille entre vos mains est issues à 100% du recyclage, youpee, bravo!

Dans le même temps un chaine de fast-food vous sert pour manger sur place, dans des assiettes à l'emporter en polystyrène. Les couverts sont en plastic emballé individuellement dans un sachet en plastic lui aussi. Un cas isolé? Non pas du tout, c'est habituel et dans plein d'endroit.

Et pour la petite histoire, nous sommes en Californie, un état connu et reconnu pour sa conscience écologique... la bonne blague!

C'est ce que présente les politiciens et qui est relayé par les médias. Un fois le paquet bien ficelé, il traverse l'atlantique ou nos médias s'emparent alors de l'histoire avec le message en filigrane - Regardez nous avons raison, notre ligne fait même des émules aux US. 

Les médias confortent alors les positions des politiques de l'UE visant à taxer, taxer et encore taxer au nom d'une écologie qui finalement stagne plus qu'autre chose.

On récolte votre bouteille en PET pour en faire une veste polaire que vous allez racheter à prix d'or. Vous ne mettez pas de veste polaire? Pas de soucis, cela finira aussi en rembourrage de siège auto ou autre garnissage de moindre importance. Ainsi vous aller racheter plusieurs fois votre bouteille en verre ou votre carton d'emballage et vos boites de conserve en fer blanc, le tout taxé et re-taxé au nom de l'écologie.

Oui parce que dans notre système le maitre mot de l'écologie c'est TAXE. alors oui au niveau Europe, quelques avancées ont été faite, mais au niveau global, mondial ?

Ici le moindre moteur consomme 2x plus que nos moteurs. Des Tesla a perte de vue dont on sait qu'elle sont écologiques dans l'esprit des bobos qui veulent bien y croire.

Bref y'a encore du boulot et ce n'est pas en prenant le consommateur européen en otage-sauveur financier du système que l'on réglera le problème.

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